Dans les villes vénézuéliennes les voitures majoritaires sont les « grosses Américaines ». Usées, déglinguées, elles sont maintenues en vie par leur propriétaire même si en dehors du moteur, plus rien ne fonctionne : ni feux, ni compteurs, ni coffre. Les sièges sont défoncés, et les carrosseries trouées.
Pourquoi s’obstiner à garder Buick, Chevrolet, Cadillac, Ford, qui mangent plus de 20 litres aux 100 ?
C’est que ces monstres servent surtout de taxi dans lesquels on peut monter à 8.
Et qu’ici un plein d’essence est ce qu’on peut acheter de moins cher car le litre de super est à … 5 cts d’EURO !!!